Alors qu’on continue de parler du promoteur immobilier comme d’un spéculateur dans un marché aux marges faciles, la réalité est bien plus complexe.
Loin des clichés, il prend des risques majeurs en engageant ses fonds sur 10 à 15 ans dans un système où l’État contrôle les loyers, les coûts et sa marge.
Le promoteur ne profite pas du système, il en assume les risques.
Un rôle clé qui mérite d’être reconnu pour ce qu’il est: une contribution directe à la création de quartiers et de logements de qualité.
Un sujet exploré par notre Présidente Valentine Pillet, dans son billet Bilan parut le 1er octobre 2025.